Je chine toujours à propos de mon protégé Alexandre Vialatte. C'est ainsi que j'ai découvert chez un bouquiniste d'Aurillac un numéro de l'Auvergne Littéraire publié en 1926 en hommage au poète Jean Angeli (1886-1915). J'y ai découvert un article produit par Vialatte alors âgé de 25 ans.
En quelques lignes, Vialatte frappe le papier de sa sensibilité, d'une écriture qui promet d'être celle que nous découvrirons plus tard dans son approche de Dubuffet ou de l'incertitude du monde.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire