Voilà les premiers clichés que je publie de la reconstitution du Santon. Un temps magnifique est venu nous réchauffer car il fait très froid. Ce n'est rien de le dire. Je ne suis pas frileux et pourtant là j'ai quitté la reconstitution à son terme transformé en glaçon monté sur pattes.
Maman, il ne fait pas chaud !
Les Chasseurs à cheval de la Garde font leur petit tour d'échauffement ...
Les Autrichiens se montrent au soleil.... les Uhlans
L'Empereur vient de monter à cheval mais de son aveu même il a déjà froid aux pieds avant la bataille... (moi personnellement je suis effondré de rire quand j'entends ça ! Car l'Empereur, le Vrai, ne souffrait jamais ...)
Vous aurez tous remarqué que les Gendarmes vont par deux ... eh bien à l'époque c'était déjà le cas ! Là ils se racontent des histoires de gendarmes... vous pariez ? En tchèque car ces deux-là je les connais enfin au moins pour faire partie de "mon" groupe. Ils ne se doutent même pas qu'un agent est infiltré pour les surveiller ...
Un cheval et des hommes
Les Chasseurs à cheval de la Garde et le Cuirrassier se racontent des histoires de chevaux ...
Le seul Cuirrassier de la reconstitution. Un vrai reconstitueur !
L'artillerie autrichienne m'a donné du fil à retordre là où elle se trouvait, surtout avec un petit gamin polonais tout gentil auquel j'avais laissé une place, il n'arrêtait pas de dépointer mon téléobjectif en tapant sur mon pied photo !
Attention au visage quand ça fuse juste au moment du départ du coup ... la barbe peut y passer et parfois un oeil... voire les deux.
Ces Autrichiens se racontent la dernière ...
Mon pote, le Cosaque, je l'adore avec sa gueule de cinéma !
Les Cosaques ...
tombent de cheval aussi !
Ils savent encercler aussi et là il faut faire le carré et attendre que ça passe !
La charge de l'infanterie française
Feu !
Le balai des cavaliers
L'infanterie de ligne (mon arme d'origine), les chefs étaient devant, montrant le chemin :
Un peu confus par moments
Les artilleurs à la peine !
Mais ils bossent aussi !
Là ça sent la fin !
Encore une vraie gueule de cinéma ...
Et lui le barbu, le forgeron de Krenovice : il n'a pas une gueule aussi ? Et ce cheval ?
Là ça sent la conclusion... l'Empereur aux pieds froids contemple le travail.
Vous avez compris pourquoi Napoléon a gagné la bataille d'Austerlitz : il avait l'appui aérien !
A l'époque il y avait déjà des caméras numériques ? Vous comprenez aussi pourquoi je m'amuse bien !
En regagnant notre voiture, nous contemplons ce soleil qui se couche sur cette région de Moravie, comme il y a certainement 205 ans !
salut JM!
RépondreSupprimerNe te fâche pas mais ton pote n'est pas un cosaque mais un Hussard.
J'ai fait pas mal de figurines de la marque HISTOREX. Tu dois connaitre.
Sinon tes photos sont très belles. on s'y croirait.
Non je confirme, il s'agit là d'un cosaque et les autres aussi. Il ya avait des hussards russes mais leur uniforme est plus élégant. D'ailleurs ils étaient une petite poignée ... rien à voir avec ceux-là.
RépondreSupprimerLà ce sont les cosaques et lui en particulier, enfin les descendants de ceux qui ont tué "mes" gendarmes le 8 décembre 1805. Je préfère leurs trognes de va-nus pieds, de buveurs de slivovice.
Cejour-là il faisait beau... mais j'ai eu la confirmation de - 26, 1 au Santon....
je veux parler du cavalier sur la 14 et 15 ème image. avec une peau de mouton non réglementaire. Et ça fait très réaliste.
RépondreSupprimerLe colback est un peu grand pour un cosaque, et ne semble pas avoir de flamme latérale.
Il porte des cadenettes typiques des hussards et chasseurs à cheval.
et les cordons de raquettes ne sont pas assez longues pour en faire un cosaque.
Il aurait fallu représenter son manteau, ses équipements (cartouchières).
si tu as une autre photos entière de lui ça pourrait nous éclairer.