Ceci va paraître d'une évidence assez creuse mais quand il fait chaud en Autriche, il fait très chaud. Inversement quand il se met à pleuvoir eh bien, c'est pratiquement glacial. Ne vous attendez pas encore à de jolies architectures sous le soleil, dans la verdure chatoyante. Non c'est gris. Donc pas de photos (pour le moment !).
Ci-dessous le Palais Impérial (la Hofburg), il est presque dix heures et le plafond est très bas.
Il convient donc de se réfugier à l'intérieur. Je précise que les prises de vue ont été effectuées sans flash et sans pied (réglement intérieur oblige, la résolution peut souffrir de cette contrainte. J'ai dû opérer entre 800, 1000 voire souvent à 1250 ISO.
L'église impériale n'est pas la cathédrale Saint-Jacques, c'est la Hofkirche voisine. Elle abrite le cénotaphe de Maximilien 1er qui a invité selon ses dernières volontés quelques personnages bien connus de nous parmi lesquels Clovis et le Roi Arthur d'Angleterre.
Le roi Clovis
Un des autels absidiaux
Le choeur et le maître-autel
Le royaume du stuc
Maria-Hilfe (Notre-Dame du Bon Secours) veillant sur le Christ
Le tombeau monumental d'Andreas Hofer
Le cloître
Attenant à la Hofkirche, nous trouvons l'imposant musée des tradition populaires
Les Cantalous comprendront, il s'agit de la gerle portable !
Les sièges de traite, assez semblables à ceux que nous connaissons mais en plus imposants. Ceux-ci se plantent dans le sol.
Il en est de même de ces étuis destinés aux pierres à aiguiser
Pour bien faucher, il faut avoir une faux bien affûtée. Il faut donc frapper la lame.
Les imposants poeles en céramique
Les intérieurs sont très chauds naturellement : à l'oeil et la sensation (ce qui est parfait avec la météo du moment !)
Tout est en bois y compris les plafonds
Ce lit d'enfant n'a pas été acheté chez Conforama !
Et voilà mon Canon EOS 5D Mk II !
L'Autriche et particulièrement le Tyrol sont marqués par la religion. Je rencontre le Christ à tous les coins de rue si je puis dire. A gauche Saint-Sébastien, à droite un Christ particulièrement martyrisé.
Un autre thème abordé au quotidien : la Patrie liée souvnet à la mort ou à la disparition
Ci-dessous : la Patrie perdue (le Tyrol du Sud)
La visite de la Cathédrale Saint-Jacques s'impose. On retrouve le gothique barroque. A noter que le clergé d'Innsbruck a payé un lourd tribut au régime nazi.
Le choeur et le maître-autel
Les fresques
L'orgue
La Maria-Theresien Strasse et le beffroi. Il ne fait pas bon y monter aujourd'hui ! Il est 13 heures, dans une heure le soleil va se pointer timidement.
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